Sempiternel désir, éternel soupir
Ses doigts glissent sur la porte
D’une maison hantée
Où les fantômes jouent de leur instrument.
Elle se laisse envoûter
Sempiternel désir, éternel soupir
Et danse sur la musique
Jusqu’à ce que son cœur cesse de battre
Un brouillard de larmes est resté en suspens dans l’air. Ère
de douleur, ère de chagrin, ère de jeunesse, ère de tristesse. Je voudrais tant
que cet air cesse de jouer, je suis lasse de cette musique.
Julie Doré